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22 juin1980 18 août 1994
30/08/2012 23:34
Puisque que tu es parti Loin de ce monde de vivants Puisque la nuit te prend si vite Si longtemps
Il faudra que je m’y fasse Il faudra que je l’accepte Il y aura toujours de toi une trace Dans mon cœur, dans ma tête
Un merveilleux souvenir De nos plus beaux moments De l’amour, du plaisir Aussi profonds que l’océan
Je sais que tu as fait un long voyage Bien plus loin que les nuages Vers un endroit où tous les chiens Ne manquent de rien
Dans un jardin tout en couleur Où il n’y a que du bonheur Pas de misère et pas non plus De méchants qui blessent, qui tuent
Tu as traversé les étoiles Là haut bien loin tu as mis les voiles Je ne suis pas avec toi Mais la nuit, j’entends ta voix
Je l’entends qui me dit à chaque fois Oh mon maître, mon ami je pense à toi Ne t’en fais pas, j’ai plein de copains Avec lesquels je me sens bien
Fais moi plaisir, va dans un chenil Où il y a plein de chiens orphelins Ce ne sera pas facile de choisir Prend le plus triste, le plus fragile
Fais de lui un être heureux Comme tu l’as fait avec moi Donne lui tout ce que tu as De la tendresse, de l’amour, de la joie
Magalie.
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22 juin1980 18 août 1994
30/08/2012 23:33
Boul mon Ange, Tu étais mon cœur, mon bonheur, Ce qui m’est arrivé de meilleur, Tu m'écoutais avec tendresse, Toi mon petit chien, Tu n’étais que câlins et caresses, T'avais les yeux remplis d'affection Tu me donnais sans compter ton affection Je t’ai aimé comme mon enfant, Tu étais mon ami, mon confident Mais tu es parti, ce 18 aout 1994 au paradis Pour mon plus grand regret Ton dernier soupir s’est enfuit, Laissant mon cœur meurtri, Me laissant dans mon silence Enfermée dans cette peine immense. Ton absence est une souffrance au quotidien Toi mon ange, mon amour de petit chien Au paradis où tu reposes, sois heureux, Pour toujours dans mon coeur tu demeures.
Magalie.
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22 juin1980 18 août 1994
30/08/2012 23:32
Un rêve parmi les étoiles
Avec une douce mélodie Dans le noir je me fonds, Ne regardant que les étoiles Qui brillent, dans le noir total.
J'ouvre la fenêtre, Le vent me caresse la peau Il fait frissonner mon dos. Je regarde vers le ciel
Devant ce paysage étoilé, Une larme ne peu s'empêcher De glisser le long de ma joue, Elle coule jusqu'à toucher mon cou.
Parmi les étoiles, je te vois, Tu me regardes comme la première fois, Tu me fais signe de sécher mes yeux... A présent je sais que la haut tu es heureux... Je t’aime mon petit chien
Magalie.
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22 juin1980 18 août 1994
30/08/2012 23:30
Va mon ange
Va mon petit ange, déplie tes douces ailes puisque la vie ici te quitte envole-toi vers ce grand ciel et tant pis si mes yeux me piquent.
Tu as bien assez souffert ici bas envole-toi vers l'au-delà même si cette douloureuse absence restera pour moi ici souffrance.
Tu sera toujours au fond de moi dans le creux de mon coeur tu dormiras et dans mes heures de grands combats ta douce présence me réchauffera.
Va mon petit ange, va ne te retiens pas pour moi Je resterai debout, ne t'inquiète pas je garderai pour que rien ne change le bonheur en moi d'avoir ici-bas
rencontré un ange ....
et dans mon coeur à jamais et pour toujours je saurai ce que signifie le mot AMOUR ......
Magalie
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22 juin1980 18 août 1994
30/08/2012 23:29
J e t'envoie des milliers de doux câlins petit ange et je suis sure que mon petit murphy est près de toi.
Dix huit ans, Mais la douleur est toujours présente, Et les souvenirs, abondants.
En ce jour, les mauvais souvenirs refont surface, Dans ma tête il n'y a plus de place, A part cette grande plaie que tu m'as laissée.
Un grand vide qui, lentement se comble, Certains disent que la douleur s'efface. Mais en vrai, ce n'est pas comme ça que ça se passe...
Non, les jours, les mois, les années défilent. Le temps mais aussi les souvenirs filent. Chaque jour on se remémore le bonheur Et cela nous plonge dans une grande froideur.
Notre coeur se gèle, Les larmes se dégèlent, Elles coulent sans fin, Elles voyagent dans notre âme, dans ses souterrains...
Lentement on se reconstruit On réapprend à aimer la vie. Voilà plusieurs années que tu es parti maintenant Tu te reposes comme un ange au firmament. Et là-haut tu as arrêté de souffrir.
Magalie
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